18 octobre 2005

Mon vieux claquos

Coulante. C'est le mot. Dans un commentaire précédent, une admiratrice fascinée avouait qu'elle aurait bien voulu avoir une écriture aussi coulante que la mienne. Le mot est bien choisi. Il est vrai qu'en ce moment, j'ai l'écriture aussi coulante qu'un vieux camembert. Il est vrai que les effluves nauséabondes qui se dégagent en ce moment de ma prose me rappelle étrangement celles du Camembert Bebert que j'avais oublié une semaine en dehors du frigo .