20 novembre 2005

Avant la tempête...

C'est calme. Cela faisait longtemps que je n'avais pas dormi ou été malade sans trop m'inquiéter des conséquences désastreuses que cela pouvait avoir il y a encore une semaine. Une semaine de repos réparateur et d'un bon rhume qui nous montrent que, heureusement, la maladie, même idiote, a toujours le dessus sur la machine. *ouf* Et puis, finalement, on dort, on se mouche, et on en oublie que lundi, il y a une première répétition publique de la soutenance, pour laquelle je n'ai pas encore écrit une seule ligne. Et c'est reparti dans la spirale de la nuit blanche à rédiger une page navrante, avant que de l'effacer et d'aller dormir un peu dépitée, en se disant que demain encore, il faudra recommencer, mais en mieux et , si possible, en se mouchant moins. Si vous vous demandez ce que cette illustration kitsch vient faire ici, ce sont des peluches de maladie. A côté de la "mauvaise haleine", de la grippe, de la maladie du baiser ou encore de la punaise de lit, vous trouverez une peluche pour le V.I.H. ou le virus Ebola. Ces peluches ne conviennent donc pas (ou peu) à votre petite fille/soeur/nièce/voisine de 2 ans qui se demande pourquoi la peluche se prénome curieusement "hépatite" ou "peste bubonique".